Cette baisse des subventions du département aux associations caritatives est un sacré coup dur. On peut, on doit protester contre les choix du conseil départemental qui met en péril la capacité du secours populaire, et des autres, à répondre aux besoins pourtant en augmentation des plus démunis.
Et pourtant, il faut bien reconnaitre que le Val-de-Marne, comme de nombreuses autres collectivités, est victime des choix de l’État.
Mais pour les personnes les plus dans le besoin en France, le passage de 2024 à 2025 ne va pas se faire dans les meilleures conditions…